Qualité, respect mutuel et durabilité : trois valeurs que le groupe Vlevia juge indispensables dans les relations commerciales qu’il noue avec ses partenaires. L’un des fournisseurs principaux de Vlevia depuis plus de 30 ans en témoigne.
Philippe Holvoet a mis à profit sa formation d’ingénieur agronome pour se concentrer sur l’engraissement lorsqu’il a repris l’exploitation familiale. Et depuis près de 30 ans, l’éleveur de Blandain (Tournai) livre tous ses taureaux chez Vlevia. “Je leur livre en moyenne 250 bêtes par an, et je me félicite de la véritable relation de win-win que nous avons su construire, dans la durée”, indique celui qui figure parmi les plus importants fournisseurs du groupe Vlevia.
Pour que cela fonctionne, pas de secret : en tant qu’engraisseur, Philippe Holvoet partage totalement les valeurs de Vlevia dans sa profession. Qu’il s’agisse du choix des taurillons chez le naisseur, des statistiques qu’il compile sur la croissance de ses bêtes, de l’alimentation, des conditions de vie des taureaux (espace, aération…), le souci de la qualité est au rendez-vous à chaque étape de son travail.
Pérenniser chaque maillon de la chaîne
“Dans un métier à faible rentabilité, il faut aimer ce que l’on fait, mais surtout être très professionnel, structuré, et accorder beaucoup d’attention à chaque détail. Mais il faut aussi savoir réagir vite en fonction des désidératas du client final, qui nous sont répercutés par Vlevia”, confie l’éleveur tournaisien.
Afin d’évoluer constamment et de répondre aux exigences de son client, Philippe Holvoet se repose ainsi en totale confiance sur l’expertise de la cellule achats du groupe Vlevia et leur retour d’information, une fois les carcasses réceptionnées et découpées.
Pour Vlevia, la chaîne complète, du naisseur au consommateur final, doit pouvoir retirer du système des moyens de subsistance décents. “Pas question de fonctionner au détriment d’un autre maillon, ce serait, à moyen terme, scier la branche sur laquelle nous sommes assis”, illustrent Guy Debaere et Yves Strobbe, administrateurs et responsables des achats du groupe Vlevia. “Pérenniser la filière viande n’est possible que si chacun peut s’y retrouver” conclut Philippe Holvoet.
